Myloween

Paradoxalement Paradoxal

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Chérie regarde tu l'infini, l'indéfini ?
Y navigue comète, astres et paradis, je m'y perd.
Acculé de ton étreinte maligne je me défais, j'observe la lune cacochyme immaculés,
Bienveillant prévenant, j'y collectionne nos corps meurtris, guillotinés.
Où est donc passé ta tête ! tout n'est que ponies spray...

Ma bouche est sèche,
Tel un beachcomber* je ratiboise,
Déraillant, je m'obstine, c'est la descente voici l'abîme.
Fini de jouer je t'embrasse, c'est la fin, tu me glisse entre les mains.
Perdu si loin par ta faute, dans le tréfonds des Limbes,
I was definitely one sandwich short of a pic-nic...*

Ne sachant quoi faire,
Egaré dans les étoiles, je me mis en quête d'univers.
Epousant l'automne, monotone, je fini par devancer ton monde. Plus rien.
Seul au loin m'attire l'absence, tapis dans l'obscurité, la seul vérité,
I have ants in my pants*

Mais de loin, la terre me guette,
Et toi, ne te trouve tu pas en phase avec ton Ame ?
C'est en touchant presque au but que surviens le suppôt Cythérée !
Tel un Typhon humanoïde voila qu'elle m'accroche, martelant les cieux,
Ruisselante de plaisir de désir, c'est ma Succube préférée.
Caché sous les oripeaux du Chaos la voila venu dévorer nos Ames !
Elle ce délecte et me damne.

Who’s going to foot the bill ?*

Chérie regarde tu l'infini, rationnel le voila qui s'épuise.
Indéfinie, le néant ce déforme, il disparait m'occulte tu la réalité ?
Qu'est ce que ce vide j'ai perdu les armes, You are on the ball* ?
Oui ! tu me susurre, mais qu'est ce que ces larmes ?
C'est mon Ame qui trépasse et ton manque qui s'impose ma muse, plus rien ne subsiste.
Nothing has ever been, It's the Truth.
You could have knocked me down with a feather,*
Stop.


Cassie.
 
* Expression traduite dans le 1er commentaire.

Vendredi 5 juillet 2013 à 13:21

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Je te suis,
Comme une ombre je m'avance.
Sous le soleil I would like to see...
I would like to see my face.

Je t'observe, je te traque, tu m'ignores.
Infatigable je me glisse sur ton corps, te léchant les flancs je désire !
Mais cette démence qui m'anime me pousse a te fuir, une fois de plus.
L'obscurité arrive.
Don't walk away, please, please !
Don't walk away...

Monochrome, je m'agite et vacille au gré de ta chandelle qui fatigue.
Ne criant gare je fusionne, et finis par me dévorer, dans l'obscurité tu m'as déjà quitté, ouf...
Watch out, I'm never far from you, je suis à présent un tout, tes rêve finiront miens.
Your Card Castle will end up falling.
Will end up falling...

Retrouvant ma forme singulière je me délecte de nos quelques minutes intimes.
Tu t'esquives, mais je suis vif, je talonne déjà tes petits escarpins rouge vif.
Habitué je navigue, calqué sur ton éclatant désespoir,
Invisible je m'invite, dans les paroles des vipères qui te suivent, et prends des teinte d'espoir.
You can not ignore me, I'm unavoidable.

Quelque chose viens d'attirer ton regard, ça y est tu est fini.
Tu l'a vu cette fille d'apparence familière, nappé de boyaux et de sang, c'est le cauchemar !
D'autre regard vienne t'obséder, comme si le monde voulais t'écraser, t’annihiler.
Paralysé tu implore, tu implose, mais je suis là, derrière je surveille, prêt a te faire mienne.
You are mine.
The one that I want !

Le regard livide je t'égare, le monde s'écroule c'est mon heure !
Tes croyances s'évadent, n'entend tu pas le doux sons des cloches et le roulement de mes mécaniques.

C'est la fin, la nuit tombe.
Je n'ai plus a la craindre, maintenant tu est moi, allons anéantir tes derniers vestiges.
Tu erre tel mon spectre par le passé, dans ces rues désolés.
Tu n'ira nul part, rien ne sert d'espérer, je vais te consumer.
Walk walk my little girl... Walk...

Je ne me rendit compte tout ce temps, obsédais de ma propre destruction,
Que des ruines et des cendre de mon somptueux palais naissaient la demeure de Cassie.
Il fut bien trop tard lorsque je voulu répliquer, mon âme m'avait déjà lâché.
Je disparu ainsi laissant place a la lune, et la nuit mon ennemi jurée.
Sans moi Cassie, ne pu retourné a la réalité, elle fini par vivre ses rêves.
Pourtant cette modeste victoire m’était trop amère, prisonnier de moi même je ne pu me tuer.
Je ne pu la tuer...

Trouvera t'elle les clés ?
Find me and Fuck me, Honey Fuck me...
I wait you.

Cassie.

Samedi 25 mai 2013 à 11:52

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C'est la pleine lune, j'ai pensé a toi.

C'est de l'histoire ancienne, mais tu sais, pour être vraiment franc,
J'ai quelque chose a déblatéré, quelque chose a t’écrire, à poussé sous la lumière.
J'aimerai te dire que, lorsque nous nous sommes laissé,
l'eau ne ruisselait déjà plus, tout étais éparpillé partout, j'ingurgitais les restes de notre relation.
Je voulais les retenir, les dernières gouttes, les dernières miettes,
Je ne voulais rien lâcher, mais tout s'éparpiller, ce transformer...
Non, Rien a faire ! Je ne voulais pas perde ce qui n’étais déjà plus.
Je suis obsessionnel, a m'en faire vomir...

"I can't hear me !
You're talking to myself !
And what you're used to
It don't work on no one else.
I wanna hear you !
I can't say so
Naive, be so naive...
You're stashing money
There're rubies up your sleeve."

 
Tu sais, je me savais incapable d'aimer, surtout avant,
Mais je me suis laissé emporter, alors que tout m’étais condamné.
Tu sais, j'y ai cru ! J'ai même eu l'espoir, puis tout a vite dérapé... j'ai abandonné.
Ce qui m'a démolie ! brisé en un millier de petit morceaux, ce n'est pas toi,
Et quelque part j’espère ne pas te décevoir, mais...
C'est la confirmation de mon incapacité a partager la vie avec toi ou qui que ce soit,
Enfin mon incapacité a vivre concrètement.

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"Let's dig a hole in the sand, Sister !
A little grave we can fill together
I got myself a problem That I been looking to sell
Some people die just a little
Sometimes you die by the drop
Some people die in the middle
I live just fine on the top, hey !"



Je sais ce que tu dirai, de part ton optimisme,
Mais crois moi, je sais bien ce qui est le cas, non je ne m'enferme pas.
Je t'ai aimé, et j'ai encore de l'attirance, même en étant trop préoccupé a me détruire,
Je suis obsédais par la mort, c’est ce qui me fait vivre, pourtant je ne sais choisir.
La vie est pleine de surprise,
Peut être me relaisserai-je tenté, je ne peut résister.
Mais nul besoin de refaire le test pour savoir, je suis quelqu'un d’extrême.
Tout est déjà foutu, non je ne m'enferme pas, disais-je.

"I run so far away from you
Don't matter where I've been !
Run around the world from you
And here you are again
You're a real jawbreaker !
A real crook, obscene
I'd call you a heartbreaker
But I reserve that for nicer things..."



Quoi que je dise, j'ai toujours aimé être en ta compagnie,
Mais nous sommes destiné a nous perdre, n'est ce pas ?
Je garde cette anneau contre mon cou, alors que le tien c’est brisé,
Il me rappellera, que je suis capable d'aimé, plus que le funèbre dessin de dieu, que je peut tenir a quelqu'un.
Et cette drôle d'aventure aussi, ce n’est pas mince affaire, lorsque l'ont navigue au cœur des brumes.
J'ai bien aimé ce petit interlude dans ma décadence.
Quel belle vie, enfin si je peut me permettre de l'appelé comme ça, je ne t'en veux absolument pas.
C’était cool et ça le restera
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"I'm not the way that you found me
I'm never here or there
One day I'm happy and healthy
Next I ain't doing so well
Let's go walk to the border
You can cry like a baby
Just let me do what I need to.
"

Bonjour,
C'est un joli château de carte que vous avez la.
Très cher, je vous remercie de ce compliment.
Voulez vous une tasse de mon précieux thé ?
Pour fêter la nouvelle année ?
Faites attention très cher, le thé est chaud.

Tic tac, je suis pressé, pressé !
Si je soufflai, pour apaisé ce torride baisé
Ne faite pas ça je vous en pris.

Mais.. Mais. Qu'avez vous fait !
Ma demeure c'est envolé !
Ne vous avais je pas dit de patienter ?
Ne faite pas cette tête,
vous êtes libre maintenant mon ami
C'est la nouvelle année !

 

Vendredi 25 janvier 2013 à 10:57

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Un objet : Les Chaussures a Talon
Un livre : L'ecume des jours
Une couleur : Le Violet
Un film : Love Exposure et Noriko's Diner Table
Une pierre précieuse : l'Améthyste et L'Hématite
Un tableau : L'Autoportrait de Gustave COURBET et les tableaux de Rola Chang
Un parfum : La Pomme
Une sculpture : Celles de Tomohiro Inaba et Motohiko Odani
Une fleur : Les Fleurs de Cerisier
Une drogue : Le Sexe
Un plat : Les Soba
Une lettre : L ou S
Une boisson : Coca Cola Cerise
Un élément : L'Eau
Un animal : L'Homme
Une saison : Le Printemps
Un monument : Kiyomizu Temple

Une année : 1920 ou 40
Une ville : Tokyo
Un péché capital : L'Envie, et Surement les autres
Une planète : La Terre
Un personnage célèbre : Alexandre Astier, Johnny Depp
Un phénomène naturel : La Brume et/ou la Pluie
Un personnage de fiction : Lisbeth Salander et Alice
Un instrument de musique : La Basse et la Guitare
Un politicien : Mon Pere
Une arme : Un Fusil de Présision
Un sentiment : La Peur
Un sport : Le Parapente
Un mythe : La Foret d'Aokigahara
Un métier : Un quoi !?..
Un proverbe : L'éternité c'est long, surtout vers la fin...
Une chanson : "Strange Circus theme" de Sion Sono
Une devise : Rien ne vous y oblige.
 

Samedi 15 décembre 2012 à 12:48

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紀子の食卓

"Les gens ont tous un contour,
Ont a toujours besoin de quelqu'un qui joue le role de la victime.

Tout le monde veut etre le champagne,
Et pas le verre.
Tout le monde veut etre la fleur, et pas le vase.
Mais le monde a besoin de verres et de vases,
Il faut bien que quelqu'un joue ces roles.

Comme dans une relation maitre/esclave.
Nous devons inverser les roles pour découvrir ce à quoi nous sommes destinés.

La survie du mieux adapté ?

On a besoin de Lapins,
Et pas seulement de Lions.
Les Lapins et les Lions ne peuvent échanger
leurs roles, mais les etres Humains le peuvent.

Certains tuent, d'autres sont tués.
Ainsi tourne le cycle de la vie en dépit des contradictions.
Tout comme les chiffres aprés la virgule du nombre Pi, qui continuent a l'infini, un cercle n'est jamais parfait.
Mais si on le trace avec un compas et un gros feutre... Le contour épais lui conferera une apparence parfaite.

Tu peut etre un Lion, je serai un Lapin, je n'ai pas besoin de contours épais.
Ma boite en fer commence à rouiller.
J'endosserai les roles que les autres refusent.
Un Lapin, un suicide, un tueur, de l'eau débordant d'un verre...

Les contours obscènes des gens en quete de bonheur m'écoeurent.
Il refusent d'etre Lapins, mais veulent manger du Lapin, ce genre de jungle n'existe pas."
Joue le Lapin, joue.
 
dozo ^^

Vendredi 2 novembre 2012 à 16:20

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