Myloween

Paradoxalement Paradoxal

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Un thème qui me fait marrer, quand on connaît notre époque:
« T’es important pour nous, le suicide n’est pas une option ».
On a deux idées reçues bien ancrées au sujet du suicide.
Que ça peut se prévenir et que c’est lié à un problème donné. Rien de plus faux.

Parlons de métro, la STM cache toujours au public les statistiques, sous prétexte que ça pourrait donner le goût à d’autres d’imiter ces malheureux. Comme quoi ça passe dans la tête de bien des gens. C’est que ceux qui travaillent en psychologie confondent le suicide avec une dépression ultime. Un déprimé, lui, va crier son malheur sur les toits. On voit que ça ne tourne pas rond. Tandis que le suicidé classique va toujours surprendre son entourage au moment où il s’y attend le moins. Ce qui ajoute plus d’impact au geste.

Ce slogan « T’es important pour nous » est du pur angélisme new age. Nous sommes en ce moment confrontés dans nos civilisations technos aux pires manifestations d’individualisme. Les gens sont rivés sur leur IPhone et ne vous voient pas. Alors imaginez pour quelqu’un qui est sensible et qui a le sentiment de ne plus être à sa place dans ce monde, ce n’est pas en regardant les autres agir comme ils le font que ça donnera le goût de continuer.

Si un être lucide en est rendu à avoir perdu toute forme d’aptitude à l’émerveillement, et que de surcroît n’a aucun amour dans sa vie, il va jongler intensément avec l’option d’en finir. Oui, n’en déplaise à l’organisme, c’est une option tout à fait valable.


Il y a des personnes qui se lèvent un bon matin en se disant que cette journée sera la dernière, qui planifie et consacre leurs existance a en finir sans jamais y parvenir, echec sur echec... Et pire que ça, alors qu’on débat du suicide assisté, de bonnes consciences voudraient t’interdire, au nom d’une morale à la con, que tu puisses décider de mettre fin toi-même à de l’acharnement thérapeutique. Déjà qu’on n’a pas choisi de vivre, laissez-leur au moins décider de leur départ. Moi cette semaine je rends hommage à tous ces gens qui ont décidé de disparaître de ce monde. C’est un peu triste car ces personnes étaient de belles ressources qui auraient sans doute apporté de belles contributions. Mais non, vous leur avez dit: « Tu es important pour nous ». Eux n’ont pas entendu, ni vu à quoi ça pouvait correspondre. Ils ont tiré leur révérence.

A toute ces personnes que je comprend plus que tout.

Jeudi 10 avril 2014 à 3:43

Mardi 25 février 2014 à 19:36

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Je me demande parfois qui passe encore par ici...
Meme moi je n'y suis plus,
Un petit signe de la main aux mystérieux vagabonds.

sigh...
Je suis de plus en plus fatigué par mon ennuis...
M'enfin, je ne suis plus nul part au final,
et puis qui voudrais passé sont temps avec un spectre de toute manière,
C'est morbide et sinistre, une soirer mortel en somme.
 
Merci a vous de passer.
C'est un peu apaisant de voir qu'il y a encore quelques âmes par ici.
 
♪  Sur un air de Mental Strain at dawn ♪ ♪

Dimanche 26 janvier 2014 à 6:09

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A chacun ça drogue,
pour certain c'est la cigarette, mouillé au bout des lèvre elle vous embrasse, ça tue le temps mais pas que,
pour d'autre voici l'alcool, a vous en faire perdre la tete il s'invite dans tout vos pores et désinhibe .
Il y en a des plus dure, des qui vous anéantisse facilement et vous disconnecte,
  Des moins tenace aussi, comme le chocolat et le café, qui vous ont par excès.
Certaine diffère, a l'écart, elle vous prenne au tripes et vous possède comme la chute libre ou la guitare.

Et moi alors c'est quoi en faite ? je me suffit.
Inutile de me proposer des cigarettes, je n'ai jamais fumé et je ne fumerais pas,
Meme si c'est drolement classe.
Ma drogue c'est de détruire, détruire l'autre con qui essai tant bien que mal d'avancer.
Chaque espoir je doit l'anéantir, j'aime ce corps qui ce débat pour essayé de vivre,
Incapable, gesticulant, je l'observe suspendu au bout de sa corde.
Sans espoir je ne veut pas mourir, même si il le faudrait.

Pas si loin,
Vous sentez la lame mordre la peau,
Agressive vous la redoutez, ça fait mal, mais parviens le sang,
Il ruisselle le long des cuisses, glacé il vous aspire, et vous fait oublié.
Tentaculaire et hypnotique le réveil est brutal, c'est un reve qui tourne mal.
Je bande, ça m'inspire.

Je prefere m'en caché, ne pas en parler,
quelques rare personnes savent, par hasard pour la plupart,
Pourtant il n'y a que peu de différence avec la clope, sauf que ce n'est pas dans les moeurs,
c'est mal vu et ça fait peur.
Ont ne comprend pas, ont a pitier de vous, c'est fatigant, voir déplorable.

J'en ai rien a faire que dire, comme ce qui m'entoure, a quoi pensais-je ?
Qu'est ce qu'on s'emmerde, je suis trop raisonnable.
J'abuse.
C'est magnifique mais bien vide tout ça, comme moi,
C'est vide de sens, alors ne cherchez pas.

Laissez moi seul, je suis fatigué de sortir.
Tu me fatigue, je suis toute seule en équilibre,
Mais convaincue, enfin surtout conne, je ne te respecte pas...

Une vrai tigresse maintenant, GRRrrr
Le rouge ça m'attire, et pas que le sang,
J'm'évanoui ensuite alors,
Casse toi !

Mercredi 27 novembre 2013 à 0:06

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Bonjour, besoin d'un peu d'aide ?
Bonne lecture et amusez vous bien, si vous pouviez aussi arreter de vous plaindre ça serais cool.
Au pire faite moi signe, y'a moyen de bien rigoler. ^^



La mort par hémorragie:  Probablement la plus abordable des morts, mais néanmoins l’une des plus longue. En effet, perdre son sang, ça peut prendre du temps ! Rappelons que le corps humain adulte contient en moyenne 5 litres de sang. Une fois le premier litre et demi perdu la personne se sent anxieuse, fébrile, fatiguée et sera sujet à une soif importante. Passé le cap des deux litres perdus elle risquera à tout moment de perdre connaissance… La mort cérébrale ne sera plus loin.

 
La mort par noyade: Beaucoup plus court qu’on ne l’imagine, cette mort peut opérer en seulement quelques minutes. Celle ci se décompose en quatre étapes: D’abord, la personne s’agite dans tout les sens pour remonter à tout pris à la surface, sa tête alterne entre immersion et émersion et elle boit un petit peu la tasse. Seconde étape, la fatigue la prend et il devient difficile pour elle de garder la tête hors de l’eau. Ici elle ne se contente plus de boire la tasse, elle l’inhale. C’est un premier pas vers la mort. Lors de la troisième étape elle est à bout de force et commence à couler en perdant conscience, tout en ayant inhalé beaucoup d’eau. 1 minute après vient la dernière étape:  elle perd totalement conscience, envahie par un gigantesque froid.

Il faut bien préciser que ce protocole est académique,
il est probable qu’une hydrocution se produise ou que la peur de mourir vous tue par crise cardiaque.

 
La mort par défenestration (ou saut dans le vide): Si la personne ne rate pas son coup, cette solution peut s’avérer être la plus rapide. Mais attention, rappelons que la priorité dans cette situation c’est de s’éclater la boite crânienne sur le bitume, or celle-ci est d’une telle solidité qu’on la qualifie souvent d’ »os le plus solide de tout le règne animal« . Il ne faut donc pas aller dans la demi mesure: La victime doit s’assurer de sauter de plus de 145 mètres de haut, si possible en arrivant sur la tête. Autrement elle finira surement la course encore en vie. Je ne le lui souhaite pas, si elle échappe aux heures d’agonies qui peuvent l’attendre si elle est isolé, il lui restera probablement à continuer sa vie dans une chaise roulante. Il reste « l’espoir » que ses poumons éclates, que ses vaisseaux sanguins soient irrémédiablement détruits ou encore qu’elle fasse une crise cardiaque avant de toucher le sol.
 
 
La mort par pendaison: Célèbre et pourtant si peu pratique, cette technique reste tout de même radicale si bien étudiée préalablement. Rappelons déjà qu’il y a deux techniques de pendaison: Avec ou sans chute. Dans le second cas la mort peut parfois prendre une vingtaine de minutes avant de venir, comme en témoigne les sauvetages tardifs de l’histoire.  Il est donc préférable de choisir la pendaison avec chute. Dans ce cas, il vaut mieux favoriser une bonne longueur de corde et une chute d’au moins 3 mètres. Là, la corde provoquera une rupture net des vertèbres cervicales, entrainant un brutal arrêt des fonctions respiratoires et de certaine fonctions cardiaques. Par contre, en cas de pendaison sans chute, l’accumulation de sang dans la tête provoque un œdème et une cyanose visibles au niveau de la face et de la langue, et un œdème cérébral entraînant une perte de connaissance assez lente suivie d’un décès assez tardif. Quoi qu’avec de la chance, la corde pourrait pousser la langue à bloquer les voies respiratoires, accélérant le processus de mort =).

 
La mort par électrocution:  Comme précédemment, il y a des façons plus rapides et moins douloureuses de mourir de cette façon: Il est donc important de choisir un courant électrique d’une très grande intensité pour ne pas avoir à trop souffrir. L’électrocution peut tuer par arrêt cardiaque, par tétanie pulmonaire, par brûlure ou par mouvements incontrôlés (Chute d’un échelle, etc..). Pour ce qui est de la brûlure nous en parlerons juste après. La tétanie pulmonaire reste semblable à la mort par asphyxie bien que cumulée à des contractions musculaires, muscles qui se contractent et génèrent une douleur semblable à une crampe, en plus intense.
 
 
La mort par brûlure: Probablement l’une des plus douloureuses. La seule chance de ne pas trop souffrir est d’être dans un endroit clos et d’ainsi pouvoir rapidement mourir par asphyxie à cause de l’appauvrissement d’oxygène dans la pièce ou des éventuels gaz toxiques. Si la personne est en plein air, cela risque d’être plus dur pour elle et ce d’autant plus si elle est enrobée: La graisse est un excellent combustible.  Aussi, le corps ne dégagera pas d’adrénaline lorsque il est dans cette situation. Dommage, ça aurait pu être cool quand on sait que la brûlure au troisième degré est souvent qualifié comme « l’une des plus grande douleur corporelle connue« .  Pour finir si la personne est accompagnée lors de sa brûlure généralisée, qu’elle ne demande pas à la personne d’enlever les vêtements enflammés pour diminuer le combustible ou/et éteindre le feu: Une fois brulée, la peau n’est plus soudée  au corps, cela de la faire partir avec le tissu.

 
La mort par arrêt cardiaque: Courant mais pas pour autant comme on le pense: Si il est possible de mourir subitement d’un arrêt cardiaque, il est vraisemblable que des douleurs envahissent  d’abord la victime durant plusieurs heures avant la perte de conscience. Une sensation de pression sur la poitrine, suivie d’une douleur pouvant s’étendre à la mâchoire, au bras gauche ou à l’estomac. Le souffle devient court, des sueurs apparaissent et si la personne attend de trop le cœur s’arrête complétement quelques minutes plus tard.
 
 
La mort par décapitation: Une fois que la lame de la guillotine est tombée, on estime que la personne est encore consciente (en moyenne) sept secondes après la décollation. Sept secondes sans corps, ça peut paraître long. Mais ne soyons pas trop difficile : les décapitations « artisanales », elles, peuvent se prolonger sur plusieurs minutes.


Voila si ça peut vous aidez a choisir, bien-sur y'a plein d'autre choix mais ceux la
n'emmerderons pas trop le monde autour de vous.
Pas besoin de nettoyer les quai de la gare par exemple, ou le train :D
Bonne soirer, l'article de base : www.culture-generale.fr/sciences/4512-ca-fait-quoi-de-mourir

Samedi 23 novembre 2013 à 19:15

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