Myloween

Paradoxalement Paradoxal


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Je suis l'absence...
Hypocrite et narcissique, comme le Point final violemment écraser au font de ton cendrier.
J'aurai sans doute du t'en vouloir, d'y avoir rajouter ce A Majuscule juste après moi,
mais ce n'est pas comme si je n'avais jamais fait de rature.
J'avais commencer a écrir ma vie sur papier glacé, et tout a dégringoler quand j'ai voulu la mettre de coter,
Non ce n'est en rien liée a toi, je savais déjà, bien avant, que sa ne tiendrai pas...
Mais sans doute que...
grâce a toi, j'ai doutée un instant de ce qui pourrai arrivé.

C'étais bien je me rappel, au début, et puis peut etre au milieu aussi, je ne sais plus,
il m'arrive de me lever certain jour avec le sentiment de ne rien ressentir,
de m'inventer des sentiment qui ne sont que des désillusions,
d'etre toute seule au beau milieu de nul part a chercher désespérément quelque chose de différent que l'indifférence,
mais je n'ai trouver que la Haine et mon amie l'autodestruction.

Ce n'est la faute de personne si depuis toute petite j'ai passée ma vie a me détruire,
a emmerder la chance, et ignorer l'invasion des conseils.
Aprés tout j'aime sa regarder le papier crépiter sous la chaleur de ma flamme,
faire semblant d'ecouter et rire de  ma   ta mauvaise foi.
Je me moque bien de tout ces ringards qui vont "mal"
Ha ha ha ^^

Certain prétendent connaitre le visage qui ce cache
derrière ce rire forcer, mais est ce réelement le cas ?

Un dicton raconte qu'il ne faut pas ce fier au apparence.
I got spurs that jingle, jangle, jingle
As I go ridin' merrily along...

Dimanche 17 juillet 2011 à 10:49

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Humm et toi tu aime sa ?
 

"Je deguste la solitude, laisse une minute de silence fondre sur ma langue,
Seul le rayon de soleil poussiereux vient me deranger..."

Il faut changer,
Changer ma peau, mes vetement ces cheveux tant massacrer,
Reprendre l'air a petite bouffer jusqu'a en crever !


"Ma vie est devenu trop petite,
J'aurai besoin de quelque chose de nouveau sur le dos
Sa ne fait rien si c'est de la fripe..."


Je ne suis plus rien, d'ailleur je ne l'ai jamais etait
Quelque probleme d'acceptation
Et deux petit souci d'haberation !
 

"Je ne laisse pas de sillons dans l'eau
Sur la photo de classe je suis : comment elle s'appeler deja?
Et c'est l'etat qui heritera de mes bijoux en or..."


Pourquoi tu t'acharne tant a me desesperer
moi qui deja ne pense plus rien
Je devient con et toi?

"Parcmetres
Date limite de consomation
Dernier delai de paiment
Métastase du corp social..."


Et c'est loin de moi que je te vois t'acharner
sur cette maigre coquille vide
Qui va t'enterai quand tu en aura fini de moi....

"Je reve d'un parfum de pommier en fleur.
Toi tu trebuche sous le poids des paniers
Qui de nous deux s'y connait en pomme..."


Alors laisse moi va t'en loin de moi
relache moi de mes mot, de mes pencer
arrete cette machination infernal

"Qui prend le parti des mort?
Qui veille sur leur droits
écoute leurs probleme
Et arrose leurs plantes vertes?"


Il y a toi qui continu de cultivé un mort....
Mais pour combien de temps ?

Les citations entre " sont de Katarina Mazetti

Samedi 16 juillet 2011 à 7:18

http://myloween.cowblog.fr/images/Autres/05cvfeb1082.jpgHell low,

Je marche vers nul part...
Je suis personne... ou je ne sais plus....
Tout est blanc aseptisé, je suis perdu dans un cauchemar qui ne ce termine jamais. Je crie !  mais personne ne m'entend, je voudrais vider toutes mes tripes, mais rien ne sort....
Je marche nul part dans ce blanc qui ne fini jamais, et sans jamais me retourner je m'enfonce dans cette endroit ou l'on est oubliée. J'ai peur, je suis si seule, venez m'arracher de ce silence !
Je veux voir le ciel, la lune et ces étoiles, je veux sentir les frissons qui me parcourt au contacte de votre peau, je voudrais que tu goûte au festin de mon corps, et que tu t'abreuve de mes paroles qui ne peuvent sortir....
Je descendrai dans la rue si il le faut sa ne pourra pas être pire que mon putain de quotidien, j'affronterai le soleil et vos regard, j'écouterai le doux bruit de l'eau qui glisse sur la toile de ton parapluie, le froid qui me mord les doigts et l'ennuie si tu le veut...
Mais, apprend moi a faire le premier pas, sinon je n'y arriverai pas...
Je suis encore une enfant, une gosse qu'on aurait abandonner nul part... Apprend moi a vivre.
Apprend moi a faire confiance, a me faire confiance et a me livrer a toi...
Suis-je un objet, un objet auquel on tien posé sur le coin de la cheminée, ensevelis sous la poussière, ou bien un objet qu'on aimerai jeter peut être ! Mais dont on n'arrive pas a ce débarrassé... ou tout simplement une femme.

Je n'en peut plus de tout ce blanc, je me suis égarée...
Sayonara.

Lundi 31 janvier 2011 à 6:39

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